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LOUP : NOS POSITIONS

LOUP : NOS POSITIONS

La vie pastorale n'est pas compatible avec la présence du loup

Devant l'inefficacité des mesures de protection, une politique de régulation du loup est indispensable. L'Etat doit prendre ses responsabilités et ne pas se contenter de déléguer le travail aux éleveurs.

La Confédération Paysanne demande donc :

■ L'élimination des loups en situation de prédation sur les troupeaux, et ce, tout au long de l'année. En effet, les attaques de loups ne se concentrent plus sur la période d'estive. Cette élimination doit être assurée par un corps spécialisé sous contrôle de l'Etat. La défense active contre les loups et leur élimination ne doit pas relever du travail des éleveurs et des bergers. Toutefois, les éleveurs doivent être en droit de tirer pour défendre leur troupeau comme l'a affirmé le parlementaire européen José Bové et nous les défendrons s'ils sont attaqués pour cela.
■ La révision des procédures de tirs de défense 
en s'inspirant des simplifications (décrites par l'arrêté du 7 mai 2012) déjà mises en place dans certaines unités d'action ; le zonage territorial doit être élargi à des secteurs où la colonisation par ce grand prédateur est récente mais confirmée, tels que l'Ardèche, la Lozère, les Vosges…
■ Le déclassement du loup de la liste des espèces strictement protégées
 dans le cadre de la Convention de Berne. La dynamique de la population de loups montre que l'espèce n'est pas en danger. L'obligation de résultats dans l'élimination des loups en situation de prédation conduit à supprimer l'existence de quota national restreint.
■ L'engagement clair et net des pouvoirs publics aux côtés des éleveurs
 dans le cadre du le Plan loup prévu pour 2013-2017 ; il faut soutenir des pratiques d'élevage conformes aux attentes de la société.

 

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Loups et pastoralisme, l'impossible cohabitation

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